Ma thèse examinait, dans une perspective postcoloniale et intersectionnelle, les pratiques de loisirs et touristiques des Français·es racisé·es issu·es des quartiers populaires, aussi bien dans leur quotidien que lors de leurs séjours en Thaïlande à Phuket. Elle interrogeait en particulier les manières dont les rapports de domination vécus en contexte touristique, tout en questionnant les formes de privilèges expérimentés par la mobilité et la migration pour celles et ceux qui choisissent de s'installer en Thaïlande.

Mes recherches actuelles s'inscrivent dans cette continuité en questionnant les dimensions spatiales de la race et les rapports de domination dans l'espace touristique à partir d'une approche intersectionnelle.